text
stringlengths
3
9.2k
scores
sequencelengths
5
5
race_origin
int64
0
3
gender_sex
int64
0
3
religion
int64
0
5
ability
int64
0
3
violence
int64
0
3
Notre âge et notre position ne nous permettent pas, à ce qu'est notre mère ? d'aller suivant notre inclination la voir dans sa triste prison pleurer avec elle ; Adonci, Seigneur, ayez compassion de nous, et rendez-nous notre mère de laquelle nous ne pouvons nous passer ; pour notre frère, ce sera quand vous voudrez bien l'ordonner. Nous sommes avec le plus profond respect, Adonci Seigneur, vos très-humbles et très obéissantes servantes, Jeanne Dujonquay, Jeannette Romain, et Clotilde Romain. Que pense-t-on de cet agent, après une lettre qui porte un si fort témoignage contre lui ? Est-ce là le Commissaire d'un Inspecteur de Police, ou bien est-ce là l'homme du Comte de Morangiès ? Nous ne voulons point pénétrer les causes de son zèle ; mais ce zèle est porté à un excès bien étrange, puisque sous prétexte de faire demander grâce à trois jeunes personnes pour leur mère et leur frère, il veut non seulement les ruiner en fortifiant la barrière qu’il élève contre la restitution du prêt, mais il veut encore les rendre accusatrices contre ce qu’elles ont de plus cher au monde, et fournir par-là des armes au Comte de Morangiès et au Ministère public, pour conduire leur mère et leur frère, sinon à la potence, du moins à des condamnations; affreuses et infamantes, dont elles partageraient elles-mêmes la honte et les suites funestes. L'homme capable de mépriser les devoirs sacrés de la nature, au point de faire accuser la mère par les enfants, et le frère par les soeurs, n'est-il pas, à plus forte raison, capable de maltraiter la mère et le fils, pour servir les intérêts du Comte de Morangiès, et pour arracher d'eux des déclarations qui lui seraient favorables ? Au surplus, tous les faits dont on vient de rendre compte, à partir du moment où le sieur Delbrunieres a conduit la dame Romain et le sieur Dujonquay chez M. le Chauve, sont consignés dans la plainte rendue par addition à la requête de la dame Veron, le 21 Février dernier, et nous demandons permission d'informer sur tous ces faits.
[ 0, 1, 0, 0, 3 ]
0
1
0
0
3
I thank you greatly for the care you take to learn what they write to the Queen from Portugal, and I especially praise you for the efforts you made to prevent the reception by the Queen of Juan Rodiiguez de Souza, who went on behalf of Don Antonio. I am also pleased to learn how well Antonio de Castillo has behaved. From the favourable account you give me of him, I will gladly avail myself of his services as you will have learnt. The Portuguese matter being now all plain and straightforward, nothing more need be said about it, beyond what is written to you in a separate letter. I approve of the steps you took to have a prohibition against going to the Indies given to the corsairs who were fitting out on the pretext of revenging themselves against certain other French corsairs ; and you will take a similar course whenever this danger appears. I am greatly grieved at the persecution you report of the Catholics, by their being compelled to attend the heretical preachings and services, under i)ain of imprisonment and confiscation. If the Queen would only look at it dispassionately she would see that this fact alone proves how unrea.wuable are they who express surprise that I should refuse to allow any other than our holy Catholic faith in my Netherlands, seeing that they (the English) are obliged to re.sort to such means as this to sustain them in the blindness in which they live. But God may bring good even out of the aflBiction which is being laid upon the Catholics, as this persecution may awaken indignation and make the Queen more unpopular. God send His own remedy.— Badajoz, 26th November 1680. ELIZABETH. C9 1580. 28 Nov. 56. The KiNa to Bernardino de Mendoza.
[ 0, 0, 2, 0, 1 ]
0
0
2
0
1
Whether the petals of the spring beauty are white or pink, they are always exquisitely marked with pink lines converging near the base and ending in a yellow blotch to serveas pathfind- ers for the female bumblebees and the little brown bombylius, among other pollen carriers. A newly opened flower, with its stamens surrounding the pistil, must be in peril of self-fertiliza- tion one would think who did not notice that when the pollen is in condition for removal by the bees and flies, the stigmatic sur 170 White and Greenish faces of the three-cleft style are tightly pressed together that not a grain may touch them. But when the anthers have shed their pollen, and the filaments have spread outward and away from the pistil, the three stigmatic arms branch out to receive the fertilizing dust carried from younger flowers by their busy friends. Starry Campion (Silene stellata) Pink family Flowers—White, about % in. broad or over, loosely clustered in a showy, pyramidal panicle. Calyx bell-shaped, swollen, 5-toothed, sticky; 5 fringed and clawed petals; 10 long exserted stamens ; 3 styles. Stem: Erect, leafy, 2 to 3% ft tall, rough-hairy. Leaves : Oval, tapering to a point, 2 to 4 in, long, seated in whorls of 4 around stem, or loose ones opposite. Preferred Habitat—Woods, shady banks. flowering Season—lune—August. Distribution—Rhode Island westward to Mississippi, south to the Carolinas and Arkansas.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Tous les hommes sont des télépathes en puissance, mais ils ne sont pas pourvus de naissance de l’organe externe de la télépathie. Or cet organe de complément existait dans la nature : c’était la petite bête étoilée qui vivait dans le lac d’Asiarena. Il ne fallait que la découvrir et inventer le moyen pratique de l’utiliser... Alors, s’écria Bréautier, il suffit de greffer une de ces étoiles vivantes sur ma chair pour que cette mystérieuse télépathie, que le commun des mortels ne connaît que par des manifestations occasionnelles, accidentelles, devienne une fonction naturelle de mon être ? Oh : fit Satanas ce n’est pas aussi simple que cela. L’opération chirurgicale, dont vous avez vu la représentation dans le temple, vous permit de voir de l’antenne... Mais pour vous servir pratiquement de cet organe, il faut une longue, laborieuse et minutieuse éducation... Que dis-je ! Une véritable initiation à la fois physique, morale et intellectuelle... Aussi bien, dans l’antique Asiarena, une élite seule possédait-elle la faculté télépathique... Les membres de ce collège auquel j’ai déjà fait allusion, à la fois chefs souverains de la cité et prêtres de la religion très curieuse d'Asiarena, gardaient pour eux le secret de la télépathie. Le vulgaire ne voyait que des manifestations surnaturelles de la divinité dans le jeu de la faculté télépathique de ces chefs souverains revêtus du caractère sacerdotal. Satanas continua : — Le temple où je vous ai accueilli n’était pas accessible à la foule, qui s’assemblait en d’autres lieux que je vous montrerai, — des lieux où le mystère du pouvoir inexplicable de ses maîtres n’était pas révélé sur les parois par des images et par des textes.. Dans la barque qui le ramenait au rivage du lac souterrain, Bréautier voulut naturellement poser plusieurs questions à Satanas; mais celui-ci lui déclara tout net qu’il remettait au lendemain toute explication complémentaire. — Dans l’intérêt même de ce pour quoi Olivier vous a amené jusqu’ici, l’estime que vous ne devez pas aller au bout de vos forces. Reposez-vous jusqu’à demain, et je vous assure bien que votre patience sera amplement récompensée par ce que je vous montrerai.
[ 0, 1, 0, 0, 0 ]
0
1
0
0
0
Disegnizzato da Go) Il Trionfo del Sacramento. Si piega Gesù da quella bassa riva I gloriosi voli, e trionfali, Ma lascia all'Uomo, sé di te festa il privato Del lito divino amore pegni immortali. Anzimet del Ciel, Temi vitali, Onde l'anima già spenta ancora s'avviva: D' invisibile tesoro colmi canali, Per cui dal fonte eterno il bene deriva. Con la virtù d'onnipotente Tuono Voi date al frutto mio sovrana aiuta, Voi date al mio fallire dolce perdono. Sacri segni amorosi, in voi s'addita Dei la grazia di Dio l'incitato dono, La morte di Gesù, de l'Uomo la vita.
[ 0, 0, 2, 0, 0 ]
0
0
2
0
0
"Co weit erstmann 2lb$anbfang : fie gewinnt noch ein eigen-tümliches Gefühle für en rollerbtte P Mlrtl &, e SBärnt?/ womit ber Selterer Ätiologie einem märchenhaften Singriffe auf ben setzte beö 2lttert$umö entgegentritt, einem 3?erfuc$e, ben alten 2Ufa)ölo« mit Saffer ju taufen unb feiner bjibniföen Energie ju ieranben," toVJs <P oväa/.icÖQ xai()6g ytywvii», aXXä avyxaXvnrsog oaov (xuXiazu. 33. 8. SB. ©. Saptoraphael 3nf^riften. SBenige 3nf^riften $aben fo bat allgemeine 3ntereffe ber Är^äologen auf stä) gejogen alö bie an bem forafufaner Sweater; "Ruf. f. WUI. 91. 8. IV. 40.
[ 1, 0, 0, 0, 0 ]
1
0
0
0
0
La verve, la gaieté y brillent; puis surviennent les femmes catholiques qui chantent un hymne à la Vierge, puis des clercs de la bavoché qui entonnent leurs chansons; puis tout cela se mêle, s’enchevêtre, et forme un tout dans chaque partie reste distincte sans nuire à l’harmonie générale. C’est à donner le vertige. Puis-je passer sous silence le magnifique septuor « le combat » ? Et cependant, il faut avancer. Votre attention se lasse, je le sens, et je veux profiter de votre bonne volonté. Nous voici au quatrième acte, dans le palais de Saint-Bris. Il est presque inutile de parler de la Bénédiction des Poignards. Trouvez-moi une conception plus effrayante que : « Dieu le veut, Dieu le donne ! » après la bénédiction des poignards. Quelle profondeur, quelle vérité d’expression, quel sentiment dramatique ! Loin de nous les cavatines, les cantilènes, les traits, les fioritures. Nous sommes en plein drame. Saint Bris, avec un art infernal, attise le bleu, enflamme les satellites, les pousse au meurtre. C’est « le vieux de la Montagne » ; a bu lors de la science de Meyerbeer ! Saint-Bris commence par un solo ; un chœur à trois temps lui répond « mezzo voce » ; puis les voix et les tiges s’échauffent, les moines bénissent, l'exaltation est à son comble ; le thème reparaît, le chœur s’en empale, il rugit, il touche. Il n’y aurait plus après cela qu’une chose possible, c’est de baisser la toile. Meyerbeer a fait autrement. Il nous a donné le duo de Valentin et de Raoul, qu’aucun adjectif ne saurait qualifier. Le cinquième acte est le Cloître. Le chant de Marcel manque, dit-on, d’originalité. Mais combien il est chaleureux, ardent, et comme le vieux puritain s’idéalise ! Quant aux deux amoureux, ils doivent être fatigués, et le compositeur leur a ménagé un duo aussi tendre que rafraîchissant pour leurs voix. Ai-je été trop bavard ? La promenade vous a-t-elle fatigué ? Répondez-moi : « Non » et je vous dirai : « Au revoir », après vous avoir dit deux mots de l’interprétation de lundi soir. Il y avait deux attractions : le second début de Salomon et le premier de Mlle Lureau. C’est au physique une jolie blonde, bien au point et fort appétissante, ce qui ne gâte rien. Vous lirez dans toutes les feuilles l’analyse, la description de sa voix franche et bien timbrée.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Ce recueil est dû à Yang Chi hhi, de Loti Ung, qui y a mis une préface et une postface datée de 1382 ; postface de 1434, par le Grand Chancelier Hbanp Oe, de Yong Ma. Avertissement, biographie du poète, poésies choisies. CHAP. I : POESIE. Postface pour une réédition de 1457, par TcJiou Hiong, nom littéraire Oei hi, originaire du Kiang nan. L'édition coréenne paraît avoir été gravée en 1501. POÉSIES DE SOU Chi, H^$;$, AVEC TOUS LES COMMENTAIRES DES DIVERS AUTEURS MIS EN ORDRE PAR LE DOCTEUR Oang ; ÉDITION REVUE ET CORRIGÉE. 3 vol. in-4 (reliure européenne). Brit. M. 15324, Cl. Ponctué par Lieou TcJiJien oong. RECUEIL DES POÉSIES DE Kien tcJiai, PONCTUÉES PAR LE LETTRÉ Siu JeJii. 1 vol. in-8 (reliure européenne), formant 15 livres. Brit. M. 15324, C 5. B.R. 5 vol.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
"No Brighter Page in All American History," Says Pennsylvania Doctor. An Atlantic Port.—"No brighter page in all American history has been written than that covering the deeds of American soldiers fighting the Prussians," declared Dr. William T. Ellis of Swarthmore, Pa., who arrived here on a French liner, in describing the fighting he witnessed in the American sector at Apremont, northwest of Toul. "Our boys fought like heroes," he continued, "although they were outnumbered four to one, I saw one soldier, a Greek by birth, who had joined the army in New York. His rifle was shot from his hands, but he drew a knife, leaped forward and killed a German lieutenant. "The Americans never gave an inch and always drove the enemy back. They did not lose a prisoner, but captured three truckloads of the enemy." Albert Van Hecke, formerly a professor in the University of Louvain and now secretary to the Belgian secretary of public works, also was on board the liner. He will make a tour of this country to study industrial conditions in preparation for the restoration of Belgium. "If I had not been on the spot I would not believe some of the instances of bravery—motion-picture stuff, you might call it. One captain from Boston, who was a dry goods merchant at home, was in the trench when German sappers started to move forward preparatory to a raid. "This captain ripped off his shoulder bars to prevent identification by the Germans and seized a rifle. 'To hell with the saps,' he shouted to his men, and went over the top in the lead." .
[ 0, 0, 0, 0, 3 ]
0
0
0
0
3
Au début de mai 1848, on pouvait discerner les effets de la propagande de race et de langue qui s'était exercée sur toutes les populations européennes, de la Baltique à la Méditerranée. Les champions de toutes ces races, soulevées les unes contre les autres, invoquaient les droits des nations, réclamaient la liberté et des constitutions. On voyait les Allemands les plus libéraux applaudir à la ruine des Danois en Schleswig, des Italiens en Vénétie, des Tchèques en Bohême; on trouvait les Hongrois comme Kossuth, en coquetterie, par haine des Slaves, avec les Allemands de Francfort, avec les rebelles du Milanais, et l'on entendait les Slaves enfin dénoncer des Magyars démocrates comme la pire des aristocraties, et, en Moravie, en Silésie même, protester contre la restauration d'un royaume tchèque. Ce n'était pas un réveil des nationalités, déterminé par le mouvement démocratique qui s'était produit à Paris, réglé sur l'idéal de la fraternité entre les peuples. Tous les Français qui, hors de France, assistaient à cette levée des peuples préparée par une éducation étrangère aux doctrines libérales, avertissaient leur pays de ne s'y point tromper. « Prenons garde, écrivait Bixio, envoyé extraordinaire à Turin, de provoquer, en intervenant, dans tous les cœurs une haine implacable, une haine d'Italie. Le caractère essentiel de ce mouvement, ce qui le distingue des mouvements antérieurs, c'est qu'il est avant tout italien, et que l'orgueil national se flatte avec l'armée sarde et les contingents nationaux de suffire à constituer l'Italie. » « Par suite de l'action électrique due à l'impulsion de Pie IX, l'Italie entière, au moment où éclata soudainement notre Révolution, se trouvait déjà dans l'effervescence d'indépendance nationale la révolution de l'Italie, disait M. de Reiset, n'est pas qu'une suite de la nôtre, un entraînement d'imitation. C'est un mouvement propre à l'Italie. » Et de même, quand le peuple de Munich en armes contre son souverain apprit notre Révolution de février, l'envoyé de France le vit s'armerer contre la France et l'entendit déclarer qu'il fallait combattre la République par les idées populaires, décréter les libertés, un parlement allemand, un armement général. « Le sentiment teutonique, disait-il, dès le mois de septembre 1847, domine aujourd'hui dans toute l'Allemagne le sentiment libéral. » Il montrait les Bavarois applaudissant les fonctionnaires allemands, qui, en Holstein, s'insurgeaient en novembre contre le roi légitime, maudissant les Italiens qui s'insurgeaient contre l'Autriche.
[ 1, 0, 0, 0, 2 ]
1
0
0
0
2
Victor Deprat, chauffeur, qui se trouvait à l’intérieur de la voiture, a dû être transporté à Beaujon, avec des contusions multiples et plusieurs fractures. Le Débrouillard, nous donne de fréquenter de nombreux et luxueux dancings et de passer une heure agréablement ; ne soyons pas trop exigeant, puisque le film est interprété par le regretté Wallace Reid, à qui le rôle va comme son habit, c’est-à-dire à la perfection. Bébé Daniels, sa partenaire, a eu des films la servant mieux que celui-ci. Le Débrouillard, dont l'adaptation française est de M. Edmond Urwiller, a été mis en scène par Sam Wood, d’après le scénario de Henry Parks Dowst. (Cinéma Max-Linder, Lutétia, Sélect, Louxor, Palais des Glaces, Marivaux, Colisée, etc...) Aveu tardif À vrai dire, le sujet de ce film, qui nous vient d’au-delà des Alpes, ne présente rien de très nouveau. Aveu tardif nous conte l’histoire d’une femme qui adopte un enfant qui n'est autre que son fils. Son mari ignore sa maternité, mais elle se voit obligée de la lui apprendre, ce qui se passe sans trop de gestes, ni d’excessifs désespoirs. Aveu tardif, qui ne se termine pas par un mariage, est interprété par Isabelle Gallon et par Alex. Bernard, qui sont tous deux à louer. Le film a été composé avec soin, et sa mise en scène, qui est, je crois, de Générieux, comme sa photographie témoignent du goût et du talent de leur auteur. (Omnia-Pathé, Pathé-Palace, Cinéma Desnos, etc...) ...et d’autres films L’Oeuvre, une réédition du film de M. Léon Poirier, au Gaumont-Palace. La Gitane blanche, interprété par Raquel Melier au cinéma Marivaux. Le Coeur de Jenny, avec Harold Lloyd au Madeleine Cinéma. Le Match. Criqui-Kilbane. au Madeleine Cinéma, au Colisée, à l’Aubert-Palace. Les ministres se sont réunis, hier matin, à l’Elysée, sous la présidence de M. Poincaré. AI. Raymond Poincaré a mis le conseil au courant de la situation extérieure. Le droit de coalition Le conseil a autorisé M. Colrat, Sceaux, à déposer un projet de loi objet de modifier les articles 119 du code pénal. Ces articles ont trait à la coalition et les modifications portent sur la déclaration obligatoire des ententes commerciales et industrielles. La crise viticole Le conseil a ensuite examiné les mesures à prendre en vue de remédier à la crise viticole. A ce sujet, le ministre des Travaux publics a fait connaître qu’il s’était mis d'accord avec les réseaux pour que soit établi, jusqu'au 31 août 1923.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
— Oui, reprenait son compagnon, un» dure-à-cuire, cette Bourguiguotte. Elle eu eût mangé trois comme moi. Par bonheur j'avais mon surin... Une lois la coquine par terre, je saute sur la petite fille... Croyez-vous que ce feignant de Sans-['vus-'Reproduction réservée LE PETIT CAPORAL<res non disponible» /{télégraphes, douane», Cidmins 4e fer, gardien» de 1» paix de la ville de Parie, etc.)* ainsi que ceux domici lié en Algérie ou dans les colonies, Les re.servistea reoewrouu par le» soins de la origade de gendarmerie deleur résidence, des osdrea d* WH» indiquant ie port à ral lie»» A ees ordres de route sont attenante CM bons d» chemin de le», qui pcrme'.troLt «nx réservistes d* i’armde de mer do faire it route sans p»f #i la prix de leur place. L’attention de» réserviste» est tout partîcnl'ôroment aypetde eut Its anuotaVon; portée* *u vers» de» ordre» de route, relati vement à l'usage des bon# de chemins de 1er. Les indemnités do roule qui resteront duos seront payée» au moment de l’arrivée au port. Aucun payement ne sera fait au départ ni pendant le voyage. Les réservistes qui n’auraient pas reçu d’ordre • H rcvlo le I!) août au matin, de vront ne pieuse ter à U brigade do gendarme tte du laquai 1» îelève i» lieu de leur rési dence, *dn d'être rn;e a même il’arnver 4 leur destmation dans les délais voulus. U es* expressément recommandé tui réserviBteê oi engagés volontaires îappelés à i’aotivlté de ee munir ds leur livret indivi duel. Les hommes qui sont encore possesseurs d’effets d’uniforme sont invités à les appor ter avec eux en si rendant dans les ports.Lo ministre do l'agriculture et du commerce vient dxk-sîïir la circulaire suivante aux pré fets: Paris, le 57 juillet 1877. Monsieur le préfet. Les lois et réglements administratifs pla cent sous votre direction ou votre surveil! lance les fonctionnaires <lu ministère de l’agriculture et du commerce qui résident dans votre département. C'est donc à vous qu’il appartient de leur rappeler, aux approches de la période élec torale, des devoirs auxquels, j’en suis cer tain, ils ne sont pas disposés à manquer. Leurs attributions sont étrangères à la po litique 6t vous n'avez pas à leur demander d’en sortir.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
3n ben Sagen, wo bei Giftenbahnen größter angegriffen würden, fehlte es an Bemerkungen über die groben Tragweite beifügen, und es ist gut entspülend, bei den Regierungen, um die Kapitalangaben gefällt, die Regienungen bewilligten allein bei diesen Put eben forderten, mängelpaße Entrichtung im Saufe der Gesetze. In einem Konopol neunzehnter Sorten, testen Städte unerträglicher War. Hier besinnen ein wenig fakultative Vermengung von Giftenbahnen, wir haben Staatseisenbahnen, wir haben Eisenbahnen, die unter der Schlüsseltes des Staates leben, wir haben Eisenbahnen mit Garantien, wir haben private Eisenbahnen; aber alle zusammen haben die Senbenj, hohe (Stoibenben) zu erlangen auf Kosten der Gesetze. Gegen diese hat nun die öfter malige Kenntnis der Gesetze in der Art und Weise, unbefugt zu beherrschen, bas auf nicht nötig habe, dann noch Biele Spezifationen vorzutragen. Auf haben wir kein Pencil überhaupt, in Bier Lagerfleisch Borgedienst und füge nur hinzu, dass die Einflüsse der Schlüsse sehr gut sein können, wenn das Haupt eine Kommunikation besellt, fehlt, por ben Spuren berufen, gut erscheinen und ihre Sache wahr tun halten. Kein Eintrag auf dem vorigen Reichstag ist nicht zur Sprache gekommen, deshalb berührt die Forderung, der Geschrift, der Großteil als jeher grünblatt und ausführlich geantwortet worden ist, hat uns darauf vertrögest, dass bei der Stärke der Sprache, der Versicherung in der Stabführung begriffen wäre, schließlich sind nun heute schließlich im Stanbe, eine Speziale dieser Stabführungen übersehen gut getan; die Put ungefähr maßgenommen. Wir verweisen auf das vorausgesetzte, die Handlung zusammen in Sagen und auf die Kosten, die, wie gesagt, hier vorliegen. Wirellen ferner die Sendung des Preußischen Ministerialdekretes vom 6. März bis gegen 3. Ahrens entgegen, welcher (ich in ganzen anbetend) Bleifed über diese Sache auspricht.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Eccone alcuni passi: I turchi, per circostanze che sarebbe troppo lungo enumerare, si arrestarono a Costantinopoli; ma i russi non vi si fermeranno. La loro perseveranza è terribile. Il gabinetto di Pietroburgo prosegue i disegni di una politica invasiva tracciati da Pietro il Grande, signoreggiano il corso dei grandi fiumi della Russia, legare i svedesi nella loro penisola, aizzare i partiti in Polonia, sino al giorno d'invaderla e di divorerla; indebolire la Turchia, accennare alle province slave dell'Alemagna, assumere il patronato dei cristiani che abitano la Turchia e la Persia, collocarsi mediatrice tra le potenze europee e signoreggiarlo con abile diplomazia. Ebbene, che non fece in pochi anni? È qui il risultato: Il Baltico è occupato esclusivamente dalle potenze russe; la Svezia non attende che a riforme interne; la Polonia è squarciata, la parte del leone è data alla Russia; la Turchia perse ad una ad una le più belle province danubiane, perse la Grecia deve rifornire la sua flotta di marinai eccellenti; la battaglia stessa di Navarino tornò unicamente a profitto dei moscoviti; la barriera che i trattati del 1856 avevano elevata contro l'ambizione dello zar, con accrescere la potenza austriaca, è rovesciata; i battaglioni russi penetrano nell'Ungheria e vi umiliano l'Austria; mentre in apparenza la salvano; la propaganda slava e l'imponente strada ferrata che da Pietroburgo porterà capo nell'Alemagna, compiranno il resto; tutti gli sforzi russi sembrano diretti a questo fine.
[ 2, 0, 0, 0, 3 ]
2
0
0
0
3
d’engager des pourparlers avec les occupants, ceux-ci auraient ouvert le feu. Il y aurait de nombreux blessés. La Police, assistée d’un détachement de l’armée fédérale, a dû attaquer l'édifice à coups de bombes. À midi, la police de Linz n'avait pas encore pu se rendre maîtresse du nouveau "Fort Chabrol" social-démocrate. La situation s’aggrave en ce sens que les ouvriers des fabriques environnantes se dirigent en masse vers l’hôtel où se trouve le siège du parti social démocrate attaqué par la police. La garnison entière de Linz est sur pied et assurera le maintien de l’ordre dans la ville et la garde des édifices publics. Les Heimwehren sont alertés. On envisage peut-être de réduire les rebelles avec le cours de l'artillerie. À 17 heures, l’émeute de Linz est sur le point d'être maîtrisée. Il y aurait, jusqu’ici, 18 à 20 morts et plus de 100 blessés. DES ALPES AUX PYRÉNÉES(WO NOS CORRÉS.PONDANTS PAU 11(1 l,ll,llN)Un père abat son fils "renommé", le 11 février.— M. Georges Carnier, vins, ayant tenté d'attangler sa mère, son époux, M. Alfred Carnier, pour défendre sa femme, a été condamné à bonne portance deux coups de feu sur son fils. C'est cet-ci a été tué sur les lieux. À Roubaix, un peu avant midi, un camion d’une entreprise de constructions a été attaqué par une troupe de gangsters qui y a mis le feu. Vers midi, dans le quartier du Petit, dans un petit atelier de laine où le personnel continuait le travail, 200 grévistes ont fait irruption dans les bureaux et suggéré le mobilier. Des ouvriers ayant surgi, une bataille s’est engagée. Un des grévistes a été grièvement blessé d’un coup de marteau. Sur 40.000 ouvriers, on compte 12.000 défections. Les tramways font grève, le personnel des services municipaux, les facteurs des postes et des télégraphes en font autant. Plusieurs incidents assez graves se sont produits à Montélimar, où le piquet de grève qui s'opposait au passage de 2.000 frontaliers a dû être dispersé par la gendarmerie et les gardes mobiles. MARCHÉS ÉTRANGERS Nouvelles — Cotons (Rothière) : dispons l.-2-v.i. Tous les autres marchés sont RE MERCIEMENTS A la veuve Antoine Saliaiamacchia, ses enfants et petits-enfants; à toutes les familles Salianamachia.
[ 0, 0, 0, 0, 3 ]
0
0
0
0
3
(J'ai trouvé dans le catalogue de l'expédition navale de Gilliss à Santiago, en 1850-52, trois séries d'observations, que je n'ai pas inscrites à cause de leur discordance : 0 n 1850, 47 296,0 7,4 1851,20 280,5 7,6 1852,50 282,0 6,5 Toutes les mesures d'étoiles doubles faites par cette mission sont des réductions graphiques d'observations méridiennes, obtenues en rapportant les différences d'lR et de (1) sur une grande échelle et en mesurant sur ces diagrammes les distances et les angles de position. Cette méthode est peu précise, comme on le voit, à moins qu'il ne s'agisse de grandes distances. L'orbite apparente de ce système est très-allongée, et certainement très-inclinée sur notre rayon visuel. Le grand axe est dirigé par 32° et 202°; la première mesure, celle de Lacaille, en 1752, correspond à celle de 11, en 1739, ce qui donne un premier chiffre de période approximative de 82 ans. La remarque de Feuillée, en 1709, est un sujet de perplexité. Il assure que le compagnon était alors à l'ouest de 10°. Ce n'est pas là une mesure bien précise, puisque la position pouvait être depuis 180° jusqu'à 360°; mais enfin l'ouest c'est 270°. Or avec une période de 82 ans, l'étoile ne pouvait pas être de ce côté, car en 1873 elle était au nord-nord-est. Elle est passée au nord en 1862, et elle était à l'ouest en 1853. Ce qu'il y a de plus étrange, c'est que Powell se sert de la position de Feuillée pour confirmer sa période de 76 ans, en disant qu'en 1862 "the companion crossed the meridian passing through the primary" et que 1862 - 1709 = 53 ans = 2 fois 76, 5.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Archiviare. Lat. Questione, viva rappresentazione. S ah. tor mi fini Temi può godere; ragione è bene archiviare, atti ipotesi. Appodore, dice l'Albino. Alcuni taglieri a fuggiamoci, & a giapponese diciamo, quelli contenti, che gustano a giapponese, partono le più belle. A poi, tutti a trottano di fini simili gusti, che non appassionano i popoli. Asguimento Lat, conseguimento significa l'alto del segnare, ottenere alcuna cosa. A sé, il seguito delle quali si vede andare a casca del tutto il mondo sotto il peso. Emplì no per empiato, copiato, ritratto in un empieto vile da Te. Cangrande abbi odiato la grande emplata. Embracciare è verbo latino da Trouengali, vale propriamente mettere infuocato, come fare embracciare gli alberi più belli. Lo si può embracciare ad una bolla nuova dice (A RI. Ma quando simile a giustificare, il dubbio si dubita che sia un errore di linguetta, e che voglia dire sospettare, è voce molto bella, & molto usata nella nostra lingua. L'autorità di Dante, citata qui dall'autore è contro questo. A sì, vai Franchigia, & luogo di ferire è in Roma infine un luogo, nel quale è libero tutti i malfattori, che vengono fuggiaschi. Bene dovrebbe Madonne & simili a me, si nel beato è lieto A sì eterna, Chiamano incolpevole Tosani sì lo, incolpevole la fanno, che con amarezza punture, da Quina noia a buoi. Altri ammali lasciate. È detto con parola greca Febro.
[ 0, 1, 0, 0, 2 ]
0
1
0
0
2
Aucun gouvernement n'a le droit de diminuer le standard d’existence du peuple allemand dans l'intérêt du paiement de tributs insensés. Du pain d’abord, les réparations ensuite ! Et le Lokal Anzeiger de renchérir : « Le gouvernement ne consacre pas une syllabe ou une idée à la véritable origine de la misère économique allemande. Au contraire, il continue à considérer l’intangibilité des traités, l’instabilité du traité de Versailles et du plan Young comme des choses reconnues et acquises, tout comme le t’ont MM. Briand et Poincaré. On ne peut pas assainir les finances d’un État lorsqu’on paie constamment à l'étranger des tributs qui ne proviennent pas d'un excédent d’exportation. Le plan de redressement du cabinet Brünings n’est rien d'autre qu’une tentative effectuée pour permettre au peuple allemand, par une politique d’économies, de payer les tributs à l’étranger avec plus de facilité que cela n'a été le cas jusqu’ici. Le programme gouvernemental n’est donc pas une œuvre de libération, mais un effort d’adaptation à l’esclavage politique et économique que nous subissons. Vers un coup de force. Ces commentaires démagogiques manqueront pas de produire leurs effets sur les masses. Le but poursuivi par Hugenberg et les pangermanistes est connu : provoquer par tous les moyens un chaos politique et économique à la faveur duquel il sera possible de renverser la République par un coup de force. La catholique Germania, organe de la Chancellerie, fait appel à l’esprit de responsabilité et au bon sens des partis : « Il n’existe pas d’autre moyen que celui prescrit par le gouvernement, écrit-elle. pour éviter de sombrer dans l'abîme et pour aboutir à l'élimination de nos difficultés financières et économiques actuelles, élimination qui doit ouvrir la voie à une régénération durable. Il n’y a plus de temps à perdre. Si le Reichstag ne ratifie pas le programme du gouvernement, il mettra en péril l'État et le peuple. » Le socialiste Vorwärts intitule son article : « La quittance du 14 septembre. » L'organe socialiste démocrate est convaincu que le programme gouvernemental est dirigé avant tout contre les ouvriers, les fonctionnaires et les employés. Le Vorwärts proteste contre l’abaissement des impôts atteignant la propriété ou la fortune et contre ceux qui exonèrent partiellement l’agriculture, le commerce et l'industrie. « Ménager la précaution au détriment de la classe ouvrière, tel est le programme du gouvernement ».
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
La nuit à Narváez qui, tout dévoué au système, se trouva ainsi réduit à ne pas faire usage, pour sa gloire, de cette armée qu'il avait organisée. Le gouvernement appréhendait que la garde nationale de la capitale ne s'opposât de vive force à la réouverture des Cortès écrasées, dont la dissolution n'avait pas été moins vivement demandée que le renvoi du ministère. Le mal ne s'arrêtant pas là, il se firent des prononcements tumultueux dans quelques localités. À Valence, par exemple, le général-commandant fut massacré, victime nouvelle de la politique impitoyable de l'ordre public selon le juste-milieu. À Séville, les mécontents se mirent sous le commandement de l'ex-général en chef Cordova, qui n'accepta que pour comprimer le mouvement ; et, pour ce faire, il appela à son aide le général Narváez, qui venait de donner sa démission du commandement de l'armée de réserve, pour ne pas servir sous l'autorité du général Alaix, contre lequel il avait un ressentiment. Lorsqu'il fut assez remis de ses blessures, ce général était venu prendre la direction du ministère de la guerre. Ce portefeuille lui avait été réservé d'après la promesse faite au comte de Luchana qu'il avait fallu consulter à ce sujet, tant pour le rassurer lui-même sur un meilleur service à l'avenir, que pour satisfaire l'opinion publique, qui reconnaissait en Alaix un homme franchement attaché à la constitution. Le général Alaix, en prenant possession de son poste, n'hésita point à modifier le cabinet, à donner sa véritable destination à l'armée de réserve, à proroger les Cortès écrasées, puis à les dissoudre. Il retira leurs commandements à ceux des capitaines-généraux contre lesquels s'était élevé le plus de plaintes. Quant à Cordova et à Narváez, ils furent bientôt réduits à prendre la fuite. On respira un moment.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
the said George Jones a bond to him the said Joseph Jacobs, with warrant of Attorney annexed, conditioned for the pay- ment of the sum of Ninety dollars, the surplus money remain- ing after satisfying and paying the taxes and costs afore- said, and that the said Sarah Gregg, Administrator aforesaid, has commenced proceedings in this Court, for the collecting of the moneys due on the said surplus bond. The petitioner further represents that the said land is of much greater yalue than the amount due upon said surplus bond, and that the time for the re- demption of the said land has not expired, (or as the case may be.) The petitioner, further showing to the Court, that the col- lection of the moneys due on said bond will operate injuriously to the interests of the heirs of said John Gregg deceased, prays the Court to make an order preventing (or, — suspending, — as the case may be,) the collecting of the same. And he will, &c., July 1, 1850. Jambs Gkegg. (Affidavit of truth of petition to be appended.) 58. — Filing Bond, ^c, not payable in jive years, to continue Lien. p. 197. pi. 69 Geokgb "Wills In the Court of Com- mon Pleas of Ches- ter County. V. The Estate oe John Gkegg, late of the township of Penn in the County of Chester, deceased.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
(2) V. sur les effets de la naissance en France, M. Beudant; Revue crit. de législ., t. 9, p. 57. L'ancien principe, saluant lequel il suffit du séjour sur le sol français pour être Français, n'a-t-il pas été, depuis le Code, établi en faveur des enfants étrangers? La circonstance qu'un enfant est né sur le sol français est-elle, même sous l'empire du Code, sans aucun effet? Lorsque l'enfant est né d'un père français et d'une mère étrangère, on réciproquement, quelle condition suit-il? celle de son père ou celle de sa mère? Cette hypothesse est-elle possible, en ce qui concerne les enfants légitimes? 92 CODE NAPOLEON. LIVRE I. naturaliser en Espagne : la femme reste Française, bien que le mari soit Espagnol. Réciproquement, qu'un Espagnol se fasse naturaliser en France : la femme restera Espagnole, tandis que le mari deviendra Français.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
^ j icdxroonaliasmen- dax., ordanoOrdiniiPrxdiCA- toram.vi ;cnim,ubifurct Jubcr ^ici 1 chiuiT dinCj ran. Htroldjm PromftuMrio txemfl. fcndjt,uiftuctinconcu(nvciitas, fir/^wfr»'"»' Litter,<J kho uiu. vmlthmt mdvtrfm eum. Fiideticu* H ^C^Qu* tft jutmm.i ofi^ntum ^jinoou AtiiitU»-' Sc! ' i$,Ecclcfi*Rom rum^. fcru .. L.|iicPontifici Innr RErp.Cordc&oreconfi'eorDominum Dcum.quo fttuendam omnino R nihilaii:mafus,aut(a{ 1 ntmchuspoteftcx- li»it illi Po.i lilum, ni ic :t,moti- •ogitaii,cum& ttnumiQciicuua icu lutura divioa,4c turum> & xiciiio i^i.cpuaicodura. li*. cvoxiic, itam r . ■ paul» Cum l' xem |lAlopof! n prnprio fi!-o infrc.^o rtraMLMll.i?n5 fnit Aiii aM. ' cum hv>(i 1$ accri imusi&: cx h; s Uu- ■ios i'i^n<j iij. DcvcraEcclerii, M laereticis wtraEcclrfiam, cx- piicaiio Sc cxempla data luru tmtio hujai Cap. t. Qusft. Quis dtcemd$ts tfi ChrtfiiMHt} QM»d iim ft- ^KWM? QmdtftFuUs} (fc. ■ T cJefiaRomanavcra &unic.i, hab Parr.i. e»p.x.9i;>Scc. lfemproPon(ihcc,&alii$li- deiAiticulis contfa Hteieticus, videtbidem. CAPUT n. De Spe Orattone Domimca. REip. Virtujcft ' ' ' r quam cert» cum iiduciancjl> - vua: bonacx- VndemtimmrtS^ ffcrAHdi & fettndt dt- pimus ? ! F- Onf V nc nomioica, quam Chiil^": '"rre :'.-r nollci oie fuo fat ^ tradidit & prxltriplic: Recrtif er pArtes Orattontm rntmmam i Tl ElP' Pjtei n: llcrqui e«incaelis,Sar.^)ficctutno* mcn luum. i. Afivcniat regnum ruum. }. I-i ■ Lia, iicut in ccclo & in terra. 5. Ei .asdimic- tinms d..buuribui noittij. 6. £c nc nos inducas in rcntaii anem. . 7. Sed libcra nosamalo, Amtn.
[ 2, 0, 3, 0, 1 ]
2
0
3
0
1
De Minister van Financiën; Gelet op art. 15 der Muntwet 1901 ; Brengt ter kennis van het algemeen, dat gedurende het jaar 1907 A. is aangemunt: I. voor rekening van bijzondere personen : nihil; II. voor rekening van het Rijk: 4 600 000 guldens ; 6 000 000 stuivers ; 4 300 000 l-centstukken ; tot eene totale nominale waarde van f 4 943 000. B. van Rijkswege zijn ingetrokken: 12 tienguldenstukken; 3 420 809 rijksdaalders ; 7 105 guldens • , 4 856 halve guldens; 510 182 25-centstukken; 797 864 10- 2 554 5- (zilver) 55 617 2VS- „ 78385 1- 448 7,- „ alsmede voor eene nominale waarde van f 9.95 door brand beschadigde specie, tot eene totale nominale waarde van f 8 771 320 566. ’s Gravenhage, 13 Januari 1908. De Minister van Financiën, DE MEESTER. Gedetacheerde Surnumerairs. Dir. Amsterdam. 1 Dec.l 1906 A. J M. Kuijpers Insp. Rotterdam D. B. 3. 1 Mei 1906 G. J. Boot. Insp. Hilversum. i 1905 E. W. A. Snoek Insp. den Haag 1. I 1906 J. A. B°”. v. Ittersum Insp. Schiedam 1 Nov. 1906 A. J. van Iereel Insp. Dordrecht. 1 Dec.| 1906 |M. Rinkes. Insp. Enschede. 1 Dec. 1906 T. J. Sikkens. Dir. Utrecht. 1 Dec.l 1906 J. S. Koopmans. Dir. Zwolle. 1 Juni 1907 H J. B. Bersma. In«p. Maastricht. 1 Juni 1907 Ij. E. van Timmeren. Dir. Middelburg | Juli 1907 'C. M. L. de Haan Insp Venlo. 1 Juli 1907 L. M. J. Hoebens. Insp. Rotterdam I. & A. | 6 Jan. 1908 - G. A. H. Kluijtmans Insp. Nijmegen. | 1 Jan 1908 [F. C B. F. Alpherts. Kantoor Wijhe. \ Dec. 1907 |.A. van Diermen. De navolgende Surnumerairs zijn nog belast met de waar neming van reeds vervulde ontvangkantoren: Blijham surn. J. Busscher (ing. 31 Aug.). — A. Volkmaars Zwolle I. & A. (tot 1 Mei 1908). — J. N. Groustra, Steen bergen (tot 1 Mei 1908). — H. Vink, Kollum (tot 25 Apr.). — A. F. Bange (tot 2 Mei) Middelburg. — G. A. Meijer, Slochteren (tot 15 Apr,). — H. W. Krop, Goor. — F. K. C. Timmerhans van Abcoude, Ossendrecht (tot 29 Febr.). — H. H. F. Vierdag, Schoonhoven (tot 1 Mei). — L. J. de Langen, Gouda (tot 29 Febr.) — W. M. Weve, Leerdam (tot 29 Febr.) -- C. A. Meijer, Blokker (tot 11 Mei). — H.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
J'étais ivre de fureur, et, ne sachant plus ce que je faisais, j'allais prendre le chemin de Saint-Dié, dans l'espoir d'y trouver un relais de poste moins pauvre en chevaux que celui de Gemangoutte, lorsque j'entendis parler derrière moi. Je me retournai, avec toute la vivacité de la colère, et j'aperçus le baron qui s'avancait à ma rencontre, en compagnie d'une autre personne qu'il quitta immédiatement pour venir seul au-devant de moi. J'eus la sagesse de comprendre que puisqu'il arrivait avant les chevaux qui devaient nous emmener, je n'avais pas le droit de lui faire de bien vifs reproches de son escapade. J'attendis donc patiemment ce qu'il aurait à m'apprendre au sujet du personnage qu'il avait recruté en poursuivant son loriot baltimore. Il paraissait radieux et ne me fit pas languir longtemps. — Mon jeune ami, me dit-il, il y a là un savant très distingué qui sollicite l'honneur de vous être présenté. — Que diable voulez-vous que je fasse d'un savant, mon cher baron ? Je n'ai besoin que de chevaux. En a-t-il à m'offrir ? Dans ce cas seulement il serait le bienvenu. — Des chevaux... ah ! oui, pour nous remettre en route. Je vous avoue franchement, mon jeune ami, qu'il n'a pas été question de cela entre nous; mais il me semble qu'il m'a assuré qu'il était tout à votre service. — Quel est son nom ? — Je l'ignore. — Quoi ! vous avez commis une semblable imprudence ? — Une imprudence ! — Sans doute. Distrait comme vous êtes, vous ne vous seriez peut-être pas aperçu que l'on vous aura accosté en vous demandant la bourse ou la vie. — Ah ! mon cher Hubert, quelle idée ! — Il est tout simple qu'elle vous vienne quand il s'agit d'un individu qu'on rencontre au milieu des bois. — Je vous assure que ce monsieur a les façons les plus courtoises. — À quoi je réponds que Cartouche volait chapeau bas et assassinait en fredonnant une ariette. — Mais Cartouche a été roué, mon jeune ami. — Penseriez-vous donc qu'il était seul de son espèce comme le phénix, mais qu'il n'avait pas la précieuse faculté de renaître de ses cendres ? Allons, convenez que vous avez agi un peu légèrement dans cette circonstance.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Ti : ma per mezzo della terrena prepotenza, concessa loro, talvolta per coro naturale, talora per uso dell'attiratura e talora per grazia, che gli Etnici chiamano uortuna. Non può negarli, che quei medesimi Gesù Grillo, Regnante sopra il Regno spirituale delle conoscenze, e cioè l'amo della Religione degli Uomini non ha omissi il primogenito del Creatore dell’Universo, e non ha ogni autorità naturale: Monarchia, sopra ogni cosa temporale; ma come non volle Gesù Grillo valersi di quell'autorità, e Giurisdizione; Regnum meum non est de hoc mundo. Così non può fare il Pontefice, il quale è Vicario, e ha maggior autorità di quella Pratica.
[ 0, 0, 2, 0, 0 ]
0
0
2
0
0
Il cav. Desimoni accennava quindi agli organi moderni dei Serassi, del Bianchi, dei Lingiardi e di più altri maestri; e rifacendosi poi più strettamente alla storia della musica ecclesiastica, osservava che anche a questa eziandio si poteva rannodare il canto delle processioni; notando che come in Firenze di già nel secolo XIV si cantavano laudi sacre, che ci sono venute tramandate nell'Enciclopedia Metodica, così in Genova abbiamo versi e canto per le Casaccie; le quali, è noto che fino dal secolo XVI possedevano codici manoscritti su pergamena, poi stampati nel 1580 in Torino, e che già di quei giorni si dicevano anchissimi. Nella seconda parte del suo lavoro, destinata specialmente al Teatro, l'autore diceva come la più antica musica non ecclesiastica, nota fra noi, sia quella dei madrigali, onde sulla fine del Cinquecento si ha buona copia d'esempi. Né in fatto di musicali discipline, Genova si è mai mostrata mai restia ad accoglierne e salutarne i progressi. A prova del fatto l'autore digeriva alquanto sulla storia domestica di quei tempi (secoli XVI e XVII), nei quali è bello soprattutto lo svolgersi delle arti e delle lettere; talché, passandoci anche della celebre nostra scuola pittorica, giova ricordare in ispecie come allora dame belle di forme, d'animo e d'ingegno maestrevolmente poetassero, e per la virtù del canto s'acquistassero rinomanza; e come il P. Angelo Grillo venisse richiesto di versi e di consigli da i più valenti compositori. Né certo passò senza influsso il soggiorno in Genova di Alessandro Stradella, per valore musicale ugualmente che per tragiche avventure famoso; e che appunto nella nostra città scrisse l'ultima sua composizione melodrammatica, Il Barcheggio, per le nozze Spinola-Brignole nel 1644.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Looking for Farm Loans at LOWEST RATES. No charge for examination of land or abstract of title. Loans Closed on Short Notice. The Moscow State Bank, just in for the land's sake, what? Ground Lime Stone, Get our Free Catalog which will tell you all about it. W. A. Lauder, Phone 76, Moscow, S.C. EGGS ARE BETTER BABY MAN will call to see you. Have Your Corset Made For You. THE latest from the best quality. IS STRICTLY CUSTOM MADE IS GUARANTEED WITHOUT PAIN. AND BONED WITH EITHER. Phone or write with your order. MRS. Esther E. Miller, Phone 37, CORSETIERE for LATAH COUNTY. HERE'S ANOTHER GOOD BUY! A 226-acre farm located one mile from Cornwall, 200 acres now cultivated and all tillable land but about 8 acres. Two good sets of buildings including one new house and one new barn, an abundance of the best of water, three-fourths mile to school, church and store and one and one-half miles to warehouse and all down hill pull. Most all of this land is newly broke up and is in the very best of condition for crops. At this time, with absolutely no foul seeds, PRICE $65.00 PER ACRE and we might take in a small tract of not more than 80 acres any place in the Palouse Country at not to exceed $6000 and any reasonable terms on remainder. Several other especially good bargains in land Realty & investment Co.
[ 0, 1, 0, 0, 0 ]
0
1
0
0
0
It is not from Canadian women alone, however, that we can learn, for their men can teach us even more. They have fully grasped the fact that the best work is always done when men and women share discussions and decisions, and Englishmen are only slowly awaking to this and to a knowledge of the fact that many women are obliged to earn a living, and if they are to do so creditably to them- selves must be sufficiently trained. Owing to this tardiness in realising what is required of educa- tional centres, whether they are for domestic science as applied to village women or educated people, whether for medicine, secretarial work, gardening, or farming, our Government is slow in helping either financially or with advice. Too much has been done by and is being left to voluntary workers who may or may not be experienced enough to undertake such work. From Canada we learn with what admirable skill in leadership their Governments aid and encourage initiative in both paid and unpaid officials, how they give liberal support both financially and by imparting freely information of an invaluable kind because it comes from a far-seeing source. More of this, and fewer red-tape restrictions, would help materi- ally towards the establishment of really useful women citizens, and when Englishmen have learnt, as they cannot fail to do after this war, how much PREFACE xiii they can help women by encouraging their educa- tional development, by rewarding and recognising those women who show initiative and do solid work, I feel sure that the young women of England will not fail in acting up to the highest ideals, for they know that the future of our great Empire depends not upon the middle-aged or old, but the young generation of women and how earnestly and steadfastly they set about their task.
[ 0, 2, 0, 0, 0 ]
0
2
0
0
0
Will. 429.) But if the covenantor expressly declare the settlement to be in execution of his power over lands, though the particulaf land to be charged be not specified, Equity will ascertain them. For which he cites Coventry v. Cov- entry, uhi supra. This apparent exception proceeds upon the ground, that the power, being to be executed out of particular lands, is a specification, when executed, of the particular lands to be charged. But see Ante, § 1131, p. 483, and note (1).
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
No further steps toward calling out the National tluard will be taken until Congress has acted, (t is proposed le? dratt the entire guard into She Federal service when that has been done. Kven th<- liO.i>00 guardsmen now in the ivd era I service on police duly will be (Continued on I*"onriit Puge*.) The Marines at Work | l ife In the ( tilled State* Murine | Corp* in the xuhject of nn urlln- | He booklet, elaborately lllimtrilled, x\ li leli The Time*-Dispatch In noh nfl'erlnu free to It* render*. The little bonk Im official, bottled by the i koi eminent of the lulled State", find explain the many Interesting detalln of marine work in pence, nt iiar. on lancf and *en Any reader of The Tlnien-lllnpntch may iicrurt thl* booklet for n il-eent ?tan?t? t? pay return poMlitge. Itequentn foe Jhe Marine'* Hook ahould be n d drexned to The Tlmcii-I)|?|iittrh Informntlon Durenn, Tlmea-DUpateh Iliilldlng. nicbmond, Va. \ PRESIDENT SIGNS WAR RESOLUTION America for Second Time Since 1814 Enters Into War With European Power WAMIt.NWTO.V. April H A Mnte of wiir rxlNlH bflwrm the I nltcd Mntr* and t.erinmiy. U hfii I'rrnldent \VII*on wluned hi* proi-ltimn t ion lii-Unv decliirlnt; (lint n Kliilr of iinr eilntM. the I'nlloil Mnlr\ for thr xrrontl time ?l?re 1st I. rntrrnl Into nnr n llh n I'.ii ropenn |iimrr. Srlr.urr of nil *rlf Internril Orninn ohl|m In Amerlenn unlrrn lins been i-nrrlnl out, :<ml wnr meiisurr* lire lie inn hurried, to eompletloo l?y t oiigrr<i!i nittl I'edernl nml Mnte n ii t h or 11 ten.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
This is a digital copy of a book that was preserved for generations on library shelves before it was carefully scanned by Google as part of a project to make the world's books discoverable online. It has survived long enough for the copyright to expire and the book to enter the public domain. A public domain book is one that was never subject to copyright or whose legal copyright term has expired. Whether a book is in the public domain may vary country to country. Public domain books are our gateways to the past, representing a wealth of history, culture, and knowledge that's often difficult to discover. Marks, notations and other marginalia present in the original volume will appear in this file - a reminder of this book's long journey from the publisher to a library and finally to you. Usage guidelines Google is proud to partner with libraries to digitize public domain materials and make them widely accessible. Public domain books belong to the public and we are merely their custodians. Nevertheless, this work is expensive, so in order to keep providing this resource, we have taken steps to prevent abuse by commercial parties, including placing technical restrictions on automated querying. We also ask that you: + Make non-commercial use of the files We designed Google Book Search for use by individuals, and we request that you use these files for personal, non-commercial purposes. + Refrain from automated querying Do not send automated queries of any sort to Google's system: If you are conducting research on machine translation, optical character recognition or other areas where access to a large amount of text is helpful, please contact us. We encourage the use of public domain materials and help you reach the public domain. This is for these purposes and may be able to help.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
956 steriele glazen buizen overgebracht, die aan beide uiteinden met een steriele caoutchoucstop gesloten zijn. Na bekoeling van den agar worden deze buizen bij 37°- C. geplaatst. Reeds na 24 uren zijn er geelwitte colonies inden agar te onderscheiden. Later ontstaan in dit voedingsmedium gasbellen. Om van de colo- nies entingen te maken, wordt de inlioud der buis, die gemakkelijk van den glaswand loslaat, op gesteriliseerd papier uitgestooten en met een steriel mes in schijfjes gesneden. Op deze wijze kunnen de colonies onder den mikroskoop gebracht worden, terwijl er tevens entingen van gemaakt kunnen worden. Deze methode, die burei aangegeven heeft *) voerde mij steeds tot de isolatie van „Granulobacïllus saccharobutyricus immobüis liquefaciens schattenfeoh et geassbeeger”. Deze boterzuurbacterie komt in tegenstelling met de door tissier en gasching beschrevene bewegelijke Bacillus lactopropylbutyricus non liquefaciens, algemeen in onze melk voor. De bacterie kleurt zich volgens gram, ontleedt de lactose, de glucose en het amylum. In tegenstelling met de BOTKiN’sche bacterie peptoniseert deze de caseïne niet. schattenfeoh en GRASSBERGEE onderscheiden 8 soorten van boterzuurbacteriën, waarvan er twee zeer aan elkaar verwant zijn. De bewegelijke bacterie bezit cilieën, de beide andere niet. Zij kleuren zich alle naar gram. De bewegelijke soort vervloeit de gelatine niet en vormt boterzuur, benevens een weinig melkzuur. Debeideandere soorten vormen veel R-melkzuur. De Granolobacillus vormt R-melkzuur uiteen L-draaiende suiker, benevens een weinig koolzuur, waterstof en alkohol. De bewegelijke boterzuurbacterie van het type „Amylobacter” kan niet gekweekt worden op de gewone gelatine, maar wel op glucose- of saccharosegelatine en agar. Uit nagenoeg alle versche melkmonsters verkreeg ik een boterzuurbacterie, welke met de door schattenfeoh en grassberger beschrevene overeenkomt. Gedurende deze óntledingsphase blijven de fungi op de oppervlakte der ontlede melk voortleven. Zij sluiten bij rustig staan van het melkmonster, de lucht af, waardoor de anaëroben, vooral inde onderste lagen, hun levensvoorwaarden vinden. Voor het verkrijgen eener reincultuur dezer boterzuuibacterie handelde ik aldus. Van de colonie inden agar worden z.g. steken in glucose-gelatine gemaakt. , Deze worden met een laag i) burri. Zur Isolierung der Anaëroben. Centrbl. f. Bakt. Abt. 11, Bd. VIII, 533.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
LidUUtftir, l’Uü UU IVU UlldUlul Cr CL eiUVlirj 1 .3* niât nTi^c» 1 • t • 1 érand hôtel Thermal communiquant aux bains.RICHARD & CHARLEORDRE, jolie vue sur la mer. et GARCIN, propre. L’hiver, à Juan-les-Pins, gr. hôtel SuI,“‘d.1’ hce“®e“r’ d entau’D';a™Pf®r,rr ’ 0 * St-MORITZ. Hôtel d Angleterre, Georges BRENNING, propre. HOTEL BEAU-SEJOUR boutique, vaste et charmante propriété BEAU SITE et de L’ESTEREL réunie, ordonnés par G. GOUGOLTZ, vastes jardins. Lawn-Tennis, ascenseur. Bains, omnibus.JUAN-LES-PINS l’arrachons du littoral). GRAND HOTEL entouré de forêts de pins, tr. belle situation, en plein midi, vue splendide sur la mer, les îles et l’ENTPROL FILEOUAUB CÉ LAOIN non. JUO BAINICICE-CARABACEL HOTEL BRISTOL, (tenu par Dittton) exposition en plein midi, situation splendide, boulevard Carabacel 18, maison de famille.LA MADELEINE, plein midi, appart. richement meublés et entièrement remis à neuf. SANITARY. Arrangements, ascenseur, téléphone. Jules FOLTZ, propre. GRAND HÔTEL MILLIET, 1er ordre, grand jardin, 1 ascenseur. MEYER, prop.Antiagne Hugues ancienne agence VIDAL et HUGUES, place des Îles, location de villas et appartements, achat et vente de propriétés. Renseignements gratuits LA Ciotat (B. du Rhône) GIFT HOTEL DU COMMERCE. 1er ordre, recommandé aux familles, voyageurs et Touristes. Vue sur la mer et les paquebots. PIERRE MICHEL, propriétaire, membre de la société des Voyageurs de Commerce. OSTEND “ Grand HOTEL du PHARE, sur la Digue. Vue splendide sur mer. Restaurant de 1er ordre. Très belle terrasse, Téléphone. GRAND HOTEL DE VENISE, 1er ordre, situation exceptionnelle, très grand jardin, confortable, 120 chambres et salons, ascenseur. J. SUMMAZZI, prop. CANNES (le Cannet). HOTEL St-JAMES. Maison de famille tr. recoin. Arrangements de séjour. Position exceptionnelle. Lawn-Tennis, cricket, tr. beau jardin en plein midi, prix modérés. HOTEL des ALPES, pension de famille, plein midi, Lawn Tennis, grand jardin, très belle situation, vue splendide sur mer. Hôtel à Trouville. grand hôtel d’Angleterre. HOTEL de la TERRASSE à l’Esterel, vue sur mer, plein midi, belle situation. Recommandé. Georges ECKUARDT, prop. pr. HOTEL Pension Saint-NICOLAS pour familles, exposé au midi, grand jardin, très renommé. Prix modérés, E. BOUILLETER, propre. de l'hôtel d’Albion, Rouen. HOTEL DES ANGLAIS, Ordre sur la promenade des Anglais, vue magnifique sur la mer, le cap d’Antibes et les environs, situation en plein midi. TOULON Grand HOTEL. Maison de 1er ordre. Place des Palmiers, 8 chambres, chambres et salons, chambres depuis 2 fr. Beaux familles et voyageurs. Omnibus à tous les trains. L. MLLE, prop. GRAND HOTEL DES ANGLAIS, maison de 1er ordre, vue magnifique sur la mer et les montagnes. L’été, bains de Quaron. ARNOLD, prop.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Ex. 6. Any line through an (n — 2)-ple point O of an »t-ic cuts the curve again in Q 1 and Q%. Find the locus of P, if (OP, Q 1 Q 2 ) is harmonic. [The first polar of O less the inflexional tangents at O, if any.] § 5. First Polar Curve. We consider now the intersections with a given curve of the first polar curve of O with respect to this curve. Take (7(0, 0, 1) as such a point of intersection, O as (1, 0, 0)* and any point as B(0, 1, 0). Take the curve as (i) in § 3. The first polar curve of (1, 0, 0) is = 60a"- 1 + 2 (c x + c x y) 2»" 2 + 3 (d x* + 2d lX y + dtf) z n ~ s + . . .. Since this meets the given curve at (0, 0, 1), we must have one of various alternatives. Firstly, we may have a = b = 0. Then the tangent at (0, 0, 1) to the given curve is 2/ — and passes through O. Hence G is the point of contact of a tangent from 0. The curve and the first polar curve have' C as an ordinary point and the tangents to the curves at G are distinct. Hence a single intersection of the curve and its first polar is at G. VII 5 FIRST POLAR CURVE 97 Secondly, we may have a = b = b t = 0.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
des Jahres in festlichen Gewanden, den Hut mit lang über die Schulter herab- wallenden Bändern geschmückt, hoch zn Ross und Keulen und hölzerne Hämmer in der Hand, unter rauschender Musik und wehenden Fahnen zu einer Gemeinwiese vor der Stadt; der Anführer hatte den Titel Mylord. Auf dem Felde hängten sie eine Katze in einem Fass zwischen zwei Pfählen an einem Kreuzbaum auf und warfen dann das Fass mit ihren Keulen und Hüm- mern entzwei, so dass die Katze darin umkam. Zu Ypern stürzte man an Christi Himmelfahrt (s. S. 188) oder an Mariae Assumption (August 15) drei Katzen vom Turme des Kastells, angeblich zum Andenken der Bekehrung der Stadt von der Abgötterei des Heidentums zum katholischen Glauben, und die Bewohner von Attendorn in Westphalen tragen den Spottnamen Kattenfillers, weil sie einst eine Katze mit Rinderblasen vom Turme warfen. Auch ein Bock mit vergoldeten Hörnern, der mit Bändern geschmückt war, wurde in ehemals sorbenwendischen Gegenden, die von Deutschen entlehnt haben kön- nen, vom Rathause oder Kirchturme am 25. August hinabgestürzt. Sobald er unten ankam, stach man ihm das Blut ab, welches gedorrt als kräftiges Heil- mittel in vielen Krankheiten galt. Wahrscheinlich sollte einst das Ver- brennen der Wolkenabbilder Katze und Bock, den Gewitterregen versinnbild- lichen, den man zur Löschung des Glutbrandes der Hundstage herabzuziehen wünschte. *) Bei Kelten und in keltischen Landschaften Frankreichs und Brittanniens ist am Weihnachstage der Zaunkönig (S. 194) Gegenstand der Verfolgung. Wer einen erlegt, wird zum König ausgerufen. Den Tag darauf zieht dieser König in feierlichem Aufzuge um den Ort, ihm vorauf wird der erlegte Vogel getragen, an zwei rechtwinklig zusammengefügten Reifen, oder an einer Stange aufgehängt.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
I'KTKiiOltAD. July :t The prohibi-{ tion bill passed by the Duma, which, on first analysis, was generally interpreted ' as embracing all kinds of alcoholic! drinks, now lias been found to contain I an unpublished clause, which makes an ; exception of wines not containing more! than 11' per cent of alcohol. The bill | iw< originally published would have' meant ruin for the immense vineyard interests of South llussia. the Crimea' and I he Caucasus. Sales or the excepted wines will be. permitted in wine-producing districts' and In towns in other regions except where local option declares otherwise. LLOYD GEORGE TO BE NAMED lleporleil That lie Soon ill lie A |i? I pointed frerelnry of Mate for War. [Special Cable to The Times-Dispatch.] j LONDON', July n.? It will shortly ba I announced that David Moyd Goorgo is, to be appointed Secretary of State for j War, with l.ord Derby as Under-Secre- I tary for War, replacing Mr. Tennant, j who may go to llie Bureau of Agrlcul- | ture. It Is understood that Lloyd 1 George Is to hnve some extension of| powers, but he will sever his connection ' witii Iho Ministry of Munitions. The i selection of an appointee to the latter ortlce hud not vot been made. STEEL BUSINESS BETTER THAN EVER IN ITS HISTORY Production l.?rurr. Profit* t.rfntfr nnil ' Wurkmru llrrrlvlni; lllulirr \V?Kr>, Sny* (Jury. NKW YOIIK. July 3.? In ? statement issued Ifjre to-day Chairman Gary, of the United States Steel Corporation, as serted that the steel business of th? United States for domestic use and for , export Is better than ever In its his- ' torv. Production Is larger, profits ar? ' greater an-1 workmen art receiving higher wages. Mr. Gary added.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Et d'ailleurs, on voit clairement que Dieu a pris un soin très particulier d'Antioche, selon qu'il l'a témoigné par des preuves manifestes ; puisque c'est par sa providence et par son ordre, que saint Pierre y a longtemps demeuré, et que nous avons eu pour Pasteur celui qu'il a établi avec autorité sur toute la terre, à qui il a donné les clefs du Ciel, et à la volonté et à la puissance duquel il a soumis toutes choses. C'est pourquoi l'on peut dire que notre ville ayant été d'abord à saint Pierre, ce que lui a été tout l'Univers, elle répond en dignité à tout l'Univers. Mais en parlant de saint Pierre, j'ai découvert une cinquième couronne pour notre glorieux Martyr, durant qu'il a succédé à ce bienheureux Apôtre dans la Chaire d'Antioche. Car comme si quelqu'un tire une grande pierre des fondements d'une maison, il tâche d'en mettre en la place une autre pareille; parce qu'autrement tout l'édifice tomberait en ruine. Ainsi quand saint Pierre sortit d'Antioche, la grâce de l'Esprit saint lui fit choisir un autre Prélat tout pareil à lui, de peur que ce bâtiment déjà commencé ne s'affaiblisse par le mépris que l'on ferait de son successeur. Voilà donc cinq couronnes que ce saint Prélat a méritées par l'éminence des vertus qu'il a fait paraître dans l'Episcopat, par la dignité de ceux qui l'ont élevé à cette charge, par la difficulté du temps auquel il a gouverné cette Église, par la gloire de ce trône où saint Pierre avait établi son siège, et par l'excellence de cet Apostle qui l'appela à ce ministère.
[ 0, 0, 1, 0, 0 ]
0
0
1
0
0
qneti grmffbti (abe; — ba< üb in ber Bwtfibtnjht 3 9rirF< oon ibntn no(b foDtt erhalten (aben — iR nitbt btnt atfo; iib njürte auf ten rrBrn foglncb au* beut Siblaf gnsfifct »pibrn frpn, unb itintn (abrn, loie tt t(t tbuc. — 14 belamm tbre 2 Briefe Irrten ^oßaar ntit rinanber. — i(b ^abr ftbon frlbfl btfennt, baf iib bxrinm otteb« bat>e< baS i4 ib»'" »i't' fll(i4 gtantioortet babe; — oa< abrr bir Oprr anbtlangrt . mürbe iit ibnrn bamalii ebta fo »rnig bdrübrr babtn fibrtibtn fönntn, alt ibt. — lieber £>r. atj. Salt ' — t(b bott bänb» fo »od ju tttun , ba6 i* faft ffint TOinuif finbc, bte l«t fiit mitb onwfnun !6nnt€. — alö ein 9?änn non fo firoffer (Stn<i($t uns (frtatrunfl nvJtn fir fflbfl bfffti als iib' bat» man fo roa# mit aUrr inotjliittn auntifTffanift tt unb übtrlcfluni-! — tiitbi einmal — fonbern fulmal übetlfftn niuB.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Plus à l’est, d’importantes infiltrations se produisent dans la région de Dahar, à 12 kilomètres au nord-ouest de Bab Morodé. Fez, 30 juin. — Le nord et l’est d’Ouezzan sont calmes. Au sud de Loukkos, des contingents ennemis, évalués à 1.500 fusils, exécutent des travaux de défense parallèlement à la ligne des postes français, notamment vers Rihan. On signale le retour dans leurs villages de plusieurs fractions Béni Megrani. A l’est de Kela des Sfax, on signale quelques infiltrations ennemies qui ont fait des tranchées au sud de l’Ouergha. On ne signale au centre aucune action des groupes français. Dans la journée du 29 juin, l’aviation a bombardé le poste de commandement du frère d’Abd el Krim, installé à Bouadel. A l’est, la pression ennemie dans la direction de Msila s’est accentuée et se heurte aux forces françaises qui occupent les hauteurs au nord de ce point. De sérieuses infiltrations, qui se sont produites dans la région de Dahar, sont contenues par des partisans et des forces supplétives. Une concentration de hardis de Syah et de Sakka s’effectue à Ain Zohra et à Mesquita. Il se dégage de l’ensemble des renseignements que l’ennemi développe actuellement une large tentative d'offensive sur les secteurs français du centre et de l’est. Dans le moyen Atlas, les partisans de Ahl Skoura, formant un contre-attaque, ont repoussé un dukts dont ils ont tué deux hommes et blessé deux autres. A l’extrême Sud, un dukts comprenant vingtaine d’Ait Morghal, a attaqué et pillé un petit convoi au nord de Rich. Poursuivi par les Fezzas, il a pu être rejoint. Arrivée d’une délégation Rabat, 30 juin. — La délégation de la Commission de l’hygiène, comprenant MM. Clarou, Gardiol et Péronne, députés, est arrivée à Taza. Elle vient au Maroc pour procéder à l'examen du matériel et des services relevant du service de santé. Retour de la Commission de contrôle Marseille, 30 juin. — A bord du paquebot Abda, arrivé cet après-midi, se trouvaient les membres de la commission parlementaire (le contrôle envoyée au Maroc, qui sont repartis dans la soirée à destination de Paris. La dernière phase des négociations franco-espagnole Madrid, 30 juin. — Le général Primo de Rivera est arrivé dans la matinée à Madrid. Le général, accompagné de l’amiral de Magala et des autres membres du directoire, s’est rendu au ministère de la guerre, où un conseil de cabinet s’est réuni. Le président du directoire a mis ses collègues au courant de l’état de la situation au Maroc.
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
His possession is without the shghtest color of any right but military might. He can neither justify nor excuse his invasion by even the semblance of a defensive plea. His hold upon those countries accords with no other explanation than a stupendous attempt to reahze in part his long-fostered policy of world conquest. And now, pursuant to that policy and for its more complete reali- zation, he has thrown his western battle hne beyond Belgixmi, beyond France, beyond Great Britain, and many leagues out upon the Atlan- tic Ocean toward the United States. By the menacing extension of his battle line out upon the Atlantic Ocean toward the United States and his claim to military sovereignty over the intervening waters, the German Kaiser challenged the United States to fight or fall back. He thereby claimed this area of the ocean as a Prussian lake. Had he won the European war he could have extended his claim to the whole ocean, unless we our- selves had subsequently broken the peace and made war upon him THE SECOND LIBERTY LOAN OP lai?. 43 to recover, what, for the sake of peace with him, we had unresistingly- yielded at a more favorable time for defense. But our concern in the matter comes closer home even than that.
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
vollständig zum Geschäft eingerichtet, käuflich oder mietweise übernommen werden können. Dem Erwerber ist in jeder Beziehung Gelegenheit zu großartigem Betrieb und sicherer Existenz geboten, so wie der Verkäufer erbötig ist, seinem Nachfolger länger Zeit stützend zur Seite zu stehen und einem Nicht-Photographen eventuell vollständige Anleitung zum praktischen und theoretischen Betriebe zu geben. Außer einem Vorrat von mehreren Tausend Stück negativen Platten bleibt die Übernahme von noch anderen Vorlagen freie Wahl des Käufers. Der Kaufpreis, welcher comptant ist, sehr mäßig. Interessenten belieben Franco Offerten unter A 2 Nr. 780 einzusenden an die Seyffardt'sche Buchhandlung in Amsterdam. G. Verlauf unterhält während der Saison 1867 regelmäßige Fahrten zwischen Husum und den Nordseebädern Wyl und Sylt. Fahrpläne sind in Hotels und Bahnhöfen ausgehängt und außerdem in der Expedition d. Bl., so wie bei Herren Haasenstein & Vogler in Hamburg gratis zu erhalten. 1 Concurs = Bei der Liedertafel „Frohsinn“ in Linz (Oberösterreich) ist die Chormeister Stelle mit einem fixen Jahresgehalt von 300 Fl. österr. Währ. mit 1. Oktober 1867 zu besetzen. Bewerber wollen sich unter Nachweisung ihres Alters, ihrer Stellung und Befähigung bis längstens 15. Juli 1867 an den gefertigten Haberkoch „ie P 3trg: an den gesetzlichen Vereins-Vorstand wenden, welcher die näheren Auskünfte erteilen wird. Linz, am 24. Juni 1867. Dr. Mathias Weismann, Spittelwied Nr. 1253. Der Besitzer einer Fabrik eines neuen, couragenden Artikels eigener Erfindung, welcher ohne Konkurrenz dasteht, beabsichtigt, wegen überhäufiger Beschäftigung, eine Fachspezialität zu übertragen. Die Fabrikation, in das bietet, in Manufacturing Fach einschlagend, jeder Beziehung große Vorteil. Ein junger Kaufmann, Süddeutscher, welcher mit der Correspondenz und Buchführung vertraut ist, auch Sprachkenntnisse besitzt, sucht in der Rheingegend baldiges Placement. Franco = Offerten H H 391 nimmt die Expedition d. Vl. entgegen. Bürgunder Weine. in Haus in Frankreich sucht nach Agenten zum Commissions-Verkauf von Weinen aus dem Beaujolais, Maconnais und Ober-Burgund.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
REYNOLDS (Prof. Osborne).— Sewer Gas, AND How to Keep it out of Houses. 3rd Edition. Crown 8vo. is. 6d. RICE (Prof. J. M.) and JOHNSON(W.W.).— An Elementary Treatise on the Dif- ferential Calculus. New Edition. 8vo. 18^-. Abridged Edition. 9;. RICHARDSON {A. T.).— The "Progres- sive" Euclid. Books I. and II. Globe 8vo. Q.S. 6d. RICHARDSON (Dr. B. W.).— On Alcohol. Crown 8vo. is. Diseases of Modern Life. Crown 8vo. {Reprinting . ) Hygeia : A City of Health. Ciown 8vo. \s. The Future of Sanitary Science, Crown 8vo. is. The Field of Disease. A Book of Preventive Medicine. 8vo. 251'. RICHEY (Alex. G.).— The Irish Land Laws. Crown 8vo. 3^. 6d. ROBINSON (Prebendary H. G.).— Man in the Image of God, and other Sermons. Crown 8vo. 7J. 6d. ROBINSON (Rev. J. L).— Marine Survey- ing : An Elementary Treatise on. Pre- pared for the Use of Younger Naval Officers^ With Illustrations. Crown 8vo. 7^. 6d, 44 MACMILLAN AND CO/S ROBY (H. J.)-— A Grammar of the Latin Language from Plautus to Suetonius. In Two Parts. — Part I. containing Sounds, Inflexions, Word Formation, Appendices, etc. sth Edition. Crown 8vo. gs. — Part IL Syntax, Prepositions, etc. 6th Edition. Crown 8vo. los. 6d. A Latijj Grammar for Schools. Cr. 8vo. 5 J. Exercises in Latin Syntax and Idiom. Arranged with reference to Roby's School Latin Grammar. By E. B. England, M.A< Crown 8vo. as. 6d. — Key, zs. 6d. ROCKSTRO (W. S.).— Life of George Frederick Handel. Crown 8vo. los. 6d. ROGERS (Prof. J. E. T.)— Historical Gleanings. — First Series. Cr. 8vo. 4^. 6d. — Second Series. Crown 8vo. 6s. CoBDEN and Political Opinion. 8vo. 10s. 6d. ROMANES (George J.).— The Scientific Evidences of Organic Evolution. Cr. 8vo. zs. 6d.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
■ Comedia intitolata Sinc Nomine, 8® Flor, apud Ginmi* 1574. Leltre apologetique pour la Comedie contre le Libeilc du Pere Auirustin. 12^ 1640. COMEDIA. C O M COMEDIA. Se«^unda Parte de Comedias escogidas de las Me- iores de Espana. 4.*" Madr. 1652. ■ Recueil de Comedies choiisied. 12° Haj/e, 1729. COMELIN (fran.) Voyage pour la Redemption des Caplifs aux Royaun;es d^Alger & de Tunis, fait en 1720. 8« Par. 1721. COMELIN (j.) V, GENDRE. COMENIUS (JOH. AMOsus) r. lasitius. sabunde. ■ ' Conatvvm Comenianorvm Praelvdia, ex Biblioihcca S. H. 4» Oxon. 1637. — — Porta Sapientiae rcscrata. 4" Oxon, 1637. ■ Pansophiee Prodromvs. 12^ Lond. 1639. Angl, translatcd by Jer. CoUier. 12* Lond. 1651. PhysicsB ad Lvmen Divinvm reformatje Synojwis. 12* Amst. 1643. Emrl 12^ Lond.mi. — — A Continnation of M'. lobn-Amos-Comenivs School- Endeavours ; or a summary Dclineation of D^ Cyprian Kinncr, liis tboughls concerning Education : tran?lated by Samuel Hartlib. ^i^ 1G4S. Latinae Linii^ueB Janua rcscrata. 8*^ I.onJ. IGjG. 8° Schdffhuf:. 1Gj9. ■ Pro liatinitate Januse Lingvarum suae Apolcgia. 4' Amsi. 1657. Didactica Opera omnia, ab Anno 16^27 ad 1657. con- tinuata. fol. Ainst. 1657. Faber Fortunae, sive, Ars consulendi sibiipsi. Itemqve RcgulcB VitBB Sapientis. 12" Amst, 1657. Lcxicon Atriale Latino-I-«itinum. 8® Amst. 1G57. Janua, sive, Introductorium in Biblia Sacra. 8' Nor' imb. 1658. Diogenes Cynicus Ilttlivivus, sivc, dc coriipcnJios-e phi- losophando. 12*^ Amst. 1G58. Orbis Sensualium pictus. ImI, Germ. S"^ yorib. 1659. S'» Norlb. 1G78. Ijtiit. Engl. by Charles Hoolc. 8" Lond, 1650. 8^ Lond. 1777. Dc Caloris et Fri;;;oris Natura. 12® Amst. 1659. Eruditionis Scholastica^ Alrium, una cum Fortio Kc- divivo^ sive, de pellenda Schohs Ignavia. 8^ Norib. 1659. 80 Tigur. 1661. • De Irenico Irenicorum hoc est Conditionibus Pacis a Socini Secta oblatis Admonitio. 8^ Anist. 1660.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0